Avec Jean-Louis CLARAC.
« Les poèmes de JL Clarac sont hantés de brisures, de cassures, de ruptures. L’orage gronde, quand ce n’est pas le volcan. Toujours on est près de la fin, et de l’impensable : le silence. Comment faire la part du silence recueilli, « l’éblouissement du silence », « juste / ce qu’il faut / de silence / pour fleurir / le regard », et celui qui est en échec, abdication, quand on finit par se demander « à quoi bon parler », puisqu’aussi bien il ne s’en trouve « pas un pour rompre / le quignon du poème » ? » Philippe-Marie Bernadou, Encres Vives 354 spécial Jean-Louis Clarac.
Accessible aux personnes handicapées.